Joyeux anniversaire DoppleGanger

Je me souviens plus vraiment de la date exacte mais qu’importe, je fête 4 années de Procrastination intensive, de paralysie de « l’élan vital », de no-life, de branleur professionnel .

Je pourrais également appeler ça le temps de la prétention,le temps du repli, le temps perdu,le temps de la perdition…

En effet depuis tout ce temps, je suis en quête de ma nature profonde, j’ai brisé ma vie comme on roule à tombeau ouvert vers une falaise car elle était alors qu’une vaste comédie médicalement assisté, et paradoxalement ce sont les anxiolytiques qui ont accélérer la chute…

Dés lors je suis comme suspendu dans le vide entre ciel et terre,entre la certitude être exceptionnellement intelligent capable de tout concevoir ou imaginer et la réalité de ma faiblesse, de ma volonté morcelée par les traumatismes psychologiques, du profond handicap émotionnel et sentimental qui me mime au quotidien…

On vie une époque formidable… ment cruelle,laide,vaine,injuste,honteuse. (élu personne la plus déprimante ayant jamais existée par un collège d’experts)

Mais on ne vit qu’une fois et je suis fatigué de perdre mon temps en conjecture philosophique et spirituelle pour une humanité qui se fout de son destin comme de son 1er film porno…

Il est temps pour moi d’arrêter de m’agiter lâchement comme une marionnette futile et de prendre mon destin en main même ça sera dur,long et douloureux, j’ai besoin de sentir la sérénité de la construction et de l’action.

Bien sûr il serai présomptueux d’annoncer que j’ai un grand plan pour parvenir à la personne que je devrai être, je vais surement mais prudemment mener la coquille de noix qui me sert de volonté dans la mer démonté de mes doutes et de mes illusions, seul mais la tête haute.

Alors souhaitez-moi bonne chance je vais en avoir besoin !

P.S: priez aussi pour que cette bouteille à la mer, ne se révèle n’être qu’une littérature de plus…

note à moi-même concernant le P.S : ferme un peu ta gueule Romain et fous toi un vrai coup de pied de derche pour une fois je t’en supplie sinon tu resteras pour toujours le sale wannabe de toi-même pauvre abruti !